Le franglais des chimistes
L’auteur s’interroge sur le langage «parlé» entendu dans les amphithéâtres parisiens et sur la place de plus en plus grande occupée par l’anglais.
«C’est un fait, on peut l’accepter ou s’en désoler, l’anglais devient la langue internationale, «l’espéranto» des chimistes. Dans une réunion européenne qui se tient annuellement en Suisse depuis dix ans –~et à laquelle j’assiste régulièrement~– la proportion d’exposés en langue anglaise est passée de 50~% en 1964, à plus de 95~% en 1974. …»