Un brevet biopirate: démêler le vrai du faux
Un organisme public de recherche, l’Institut de recherche pour le développement (IRD), s’est trouvé au centre d’une polémique très médiatisée à la suite du dépôt, pourtant conforme à la législation en vigueur à l’époque, d’une demande de brevet européen portant sur un principe actif nouveau, extrait d’une plante guyanaise (Quassia Amara), dont l’utilisation comme antipaludéen était connue depuis longtemps. Cet article revient sur l’affaire.
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