Holography, reconstructing by light thanks to a photostructurable medium
Article paru dans l'Actualité Chimique
N°397-398 - juin-juillet 2015
Rédigé par Ley Christian Carré Christiane Renotte Yvon Smigielski Paul Allonas Xavier Jradi Safi
Rédigé par Ley Christian Carré Christiane Renotte Yvon Smigielski Paul Allonas Xavier Jradi Safi
Lors de l’enregistrement d’un hologramme, toutes les informations contenues dans la figure d’interférences produite par superposition d’une onde de référence à celle issue de l’objet sont mémorisées par le support photosensible sous forme d’une modulation de l’indice de réfraction et/ou d’un relief en surface. Les émulsions argentiques furent le premier système mis en jeu. Les photopolymères, structurables par la lumière à l’échelle submicroscopique, sont aussi d’excellents candidats. Depuis, tous les travaux d’optimisation correspondants ont généré diverses applications, telles que la fabrication de composants optiques diffractifs ou l’utilisation d’hologrammes embossés pour la protection des documents ou des objets envers la contrefaçon.
Télécharger l'article