Vers une imagerie RPE du vivant

Ces dernières années, la RPE in vivo et l’imagerie RPE ont connu un nouvel essor. Il a été démontré que des mesures chez des animaux vivants pouvaient offrir de nouvelles perspectives en physiologie, physiopathologie, pharmacologie, oncologie, cardiologie, neurosciences et toxicologie. L’imagerie de composés paramagnétiques est rendue possible grâce à l’utilisation d’intenses gradients de champs magnétiques. Les premières études cliniques sont en cours chez l’homme avec des applications en dosimétrie rétrospective, oxymétrie et caractérisation de mélanomes.